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Intercités 1849
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Intercités 1849
25 juillet 2009

Weekend à Ndangui, le village des chercheurs d'or

La route est surprenante : une véritable tranchée dans la forêt équatoriale gabonaise, ponctuée de villages et d'enfants qui jouent au bord de celle-ci...

ZigZag3_PF

Sur_la_piste_PF

Villageois_PF

Arbres_majestueux_PF

2009_07_26_Jean_Louis_dans_Traffic

Les_p_tits_gars_PF

4_petits_sur_un_banc_PF

Le_petit_routier_PF

Parfois, une petite orchidée arrive à pointer le bout de son nez hors de la poussière...

Petite_orchid_e_sortie_de_la_poussi_re_PF

... et une feuille de fougère à pousser avant le passage d'une voiture...

Foug_res_poussi_reuses_PF

Le soir à Lastourville, nous faisons la rencontre d'un pygmée qui rentre des plantations, sur le pont qui enjambe l'Ogooué...

Le_pygm_e_PF

Panorama_Lastoursville_fleuve_2

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Commentaires
V
Je ne puis qu'être heureux de voir ces images, quelle que soit l'esprit dans laquelle elles ont été faites puis, publiées. Ces images, ces lieux, que j'ai connus, ces rivières dont j'ai bu l'eau lorsque, partant de Mbélata, j'accompagnait dans ce campement de chercheurs d'or, je partais chercher l'argent pour l'école, sont un patrimoine pour ceux qui ont connu NANGUI entre 1962 et 1990. Je sui fier d'être "enfant de l'or".Le sentiment réel est cette espèce nostalgie complice, qui habite et poursuit aujourd'hui le Gabonais dans sa relation avec l'autre. Qu'avons -nous fait de toute cette richesse qu'aujourd'hui un expatrié nous offre sous la forme de photographies tous azimuts?
V
Je ne puis qu'être heureux de voir ces images, quelle que soit l'esprit dans laquelle elles ont été faites puis, publiées. Ces images, ces lieux, que j'ai connus, ces rivières dont j'ai bu l'eau lorsque, partant de Mbélata, j'accompagnait dans ce campement de chercheurs d'or, je partais chercher l'argent pour l'école, sont un patrimoine pour ceux qui ont connu NANGUI entre 1962 et 1990. Je sui fier d'être "enfant de l'or".Le sentiment réel est cette espèce nostalgie complice, qui habite et poursuit aujourd'hui le Gabonais dans sa relation avec l'autre. Qu'avons -nous fait de toute cette richesse qu'aujourd'hui un expatrié nous offre sous la forme de photographies tous azimuts?
Z
des photos qui nous rappellent que nous vivons dans un monde bien différent, un monde où l'homme et l'enfant sont habillés et équipés pour paraître (mais sûrement pas pour être). Tu vis hors de notre mode de vie, dans un espace où l'être humain ne se fit a rien d'autre qu'a ses besoins primaires. Hors du temps qui est si précieux pour nous.
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